Dans le dernier discours de sa vie, prononcé le 25 juillet 1914 à Lyon, six jours avant d'être assassiné et trois jours avant le début de la première guerre mondiale, Jean Jaurès y croyait encore et disait : « J'espère encore malgré tout qu'en raison de l'énormité du désastre dont nous sommes menacés, à la dernière minute, les gouvernements se ressaisiront et que nous n'aurons pas à frémir d'horreur à la pensée du cataclysme qu'entraînerait aujourd'hui pour les hommes une guerre européenne. »
Ne tuez pas une seconde fois Jaurès !