À cet égard, il nous faut dès aujourd'hui – et il nous faudrait plus encore demain, si Trump venait à être élu en novembre – imaginer la possibilité de l'isolationnisme américain et ses conséquences sur la sécurité collective en Europe. Dans ce contexte, cet accord, qui ne saurait tenir lieu d'acquiescement à l'adhésion immédiate de l'Ukraine à l'Otan – nous réclamerons, le moment venu, comme pour la Suède et la Finlande, un débat parlementaire pour nous prononcer souverainement sur la question