Rodolphe Belmer vous a dit lui-même que c'était son choix.
Le conseil de surveillance a vocation, comme son nom l'indique, à surveiller le bon fonctionnement de l'entreprise et l'application d'une stratégie concertée. Si ce n'est pas le cas, c'est ce conseil qui décide – et non pas son président, car il y a vote. Comme un conseil d'administration, il a vocation – et malheureusement, cela arrive tous les jours dans les entreprises – à procéder à des révocations lorsqu'il considère que la direction générale, chargée de l'exécution de la stratégie, ne remplit pas ses missions. Cela me semble d'ailleurs être sa responsabilité même.