S'agissant du rôle de M. Fabre, je n'ai pas grand-chose à ajouter à ce que j'ai répondu à Mme Erodi tout à l'heure. Je ne suis pas responsable de ce que dit La Dépêche du Midi.
Vous l'avez sans doute senti en écoutant les uns et les autres, il fallait choisir entre une concession et l'utilisation de crédits publics, mais il y avait un consensus sur la nécessité d'améliorer rapidement la liaison routière. C'était, pour les élus de Midi-Pyrénées, une exigence forte ; ils me le disaient. Chacun a pu essayer de convaincre les uns et les autres, et certains ont peut-être eu envie de s'attribuer le mérite de la décision… Mais restons-en là : c'était un projet défendu par l'ensemble des élus, quels que soient leurs engagements politiques – nous avons travaillé sur ce dossier avec le président Malvy, comme nous l'avons fait pour le TGV.