Comme je l'ai déjà indiqué, compte tenu des conditions de programmation des crédits d'État, il m'est apparu qu'il fallait envisager la concession pour accélérer la mise en place d'une liaison routière confortable et économiquement efficace. C'est la raison pour laquelle j'ai demandé une double étude, juridique et financière. Il en a été conclu que la mise en concession était possible au vu des critères habituels que j'ai rappelés. J'ai pris cette décision de principe en 2007, lorsque j'étais ministre des transports.