Vous l'avez rappelé vous-même, dans le secteur spatial européen, le poids de la France avoisine les 40 %. Lorsque nous défendons une loi européenne, nous défendons de facto les intérêts français. Lorsque la France participe aux négociations dans le cadre européen, elle défend évidemment sa position et les intérêts de son industrie.
Permettez-moi de vous rappeler que les entreprises citées dans votre exposé des motifs sont franco-allemande pour l'une – Airbus – et franco-italienne pour l'autre –Thales Alenia Space. La précision que vous souhaitez insérer n'apporte rien. Avis défavorable.