Nous avons la chance d'avoir un tissu associatif particulièrement dense et actif, notamment dans les territoires ruraux. Il anime la vie des communes et entretient le lien social dans différents domaines : l'aide alimentaire, la solidarité, le devoir de mémoire, l'accès au sport et à la culture pour tous. Ces activités reposent sur l'engagement de nombreux bénévoles, qui donnent de leur temps et de leurs moyens.
Nous avons déjà œuvré en leur faveur, en alignant leur barème kilométrique sur celui des salariés. Mais les bénévoles non imposables ne bénéficient pas de cet avantage, alors qu'ils paient leur carburant aussi cher. Nous avons besoin de bénévoles. C'est un amendement d'appel : nous devons trouver de nouveaux moyens pour soutenir le bénévolat, qui s'est essoufflé après la crise sanitaire. Il nous faut mieux reconnaître le bénévolat, qui œuvre en particulier dans les territoires ruraux.