Voilà ce qui a été acté ce matin.
Alors que la libération des camps dans le sang et les larmes faisait naître une espérance, Marcel Paul a eu l'intelligence de défendre la grande idée d'un service public nationalisé. Je le dis au Rassemblement national qui a voulu nous donner des leçons : il ne me semble pas que ceux qui vous ont précédés aient participé à cette grande aventure humaine que fut la prise de contrôle par la nation des grands services publics de l'État.