Je l'ai dit ce matin au début de nos débats : personne n'a souhaité nourrir l'illusion que cette proposition de loi était un texte révolutionnaire, le texte qu'il faudrait pour construire un véritable pôle public de l'énergie, contrôlé par la nation, par les salariés chargés de faire vivre la politique énergétique, par les usagers et par les élus. Cette grande loi de nationalisation actualisée devra être à l'ordre du jour lorsque nous serons aux responsabilités.