Contrairement à une grande partie de cet hémicycle, nous n'avons jamais transigé avec les intérêts de la nation.
Ce texte ne serait jamais allé aussi loin sans nos voix : il doit être voté en l'état. Il est peut-être insuffisant, mais il sera, je l'espère, un premier pas vers le retour de notre champion de l'énergie, la fin de l'Arenh et la sortie du marché européen de l'électricité.