Dans ma première intervention sur le sujet, monsieur le rapporteur, j'avais déclaré que vous n'étiez pas responsable des erreurs de votre parti, car vous n'étiez pas encore né lorsqu'il les a commises. Malheureusement, si vous persistez à ne pas retirer vos amendements, vous aurez vous aussi trahi.
Beaucoup dans cet hémicycle se réclament du général de Gaulle, mais quand il s'agit de défendre son héritage – les grands projets industriels, le nucléaire, la souveraineté ou l'actionnariat salarié –, seul le Rassemblement national est présent !