Sur tout cela, nous avons commencé à agir, d'abord avec Adrien Taquet, puis avec Charlotte Caubel, dont j'ai pris la suite. Je continuerai de travailler dans le dialogue, avec les associations et les présidents de département, pour élaborer nos réponses. J'ai la conviction qu'il faut respecter l'intérêt supérieur des enfants quand ils ont besoin de protection.
Quant aux départements qui ne souhaitent pas faire le choix d'accompagner les jeunes majeurs, c'est leur responsabilité.