Nous sommes toujours plus déterminés à défendre fermement les intérêts de la France. En cas de cession de certains actifs de l'entreprise – c'est la question que vous évoquez –, nous disposons d'instruments adaptés, comme la procédure de contrôle des investissements étrangers qui a été activée pour plusieurs secteurs.
Vous le savez, la situation du groupe est due à un mur de dette important. Début février, Atos a demandé la désignation d'un mandataire financier. Nous suivons étroitement les négociations avec les financeurs du groupe. L'État est donc au rendez-vous sur ce sujet pour coordonner les discussions, notamment grâce à la mobilisation du comité interministériel de restructuration industrielle qui accompagne d'ores et déjà la société.