C'est pourquoi, en novembre dernier, vous l'avez rappelé, Bruno Le Maire a réaffirmé la volonté de l'État de veiller « avec fermeté » afin que les activités les plus sensibles du groupe restent sous contrôle français, en particulier les pôles big data, intelligence artificielle et cybersécurité que vous avez évoqués et qui recouvrent l'activité de supercalculateurs en lien avec la dissuasion nucléaire française.