Ce PLF devrait permettre d'aboutir à une forme de sanctuarisation du crédit d'impôt aux services à la personne. Il y a eu des tentatives de le démanteler et je constate qu'il y a encore des amendements qui, pour certains, proposent de baisser les plafonds, pour d'autres de les rehausser. Pour ma part, j'assume de dire que nous n'aurions pas de quoi nous payer une hausse des plafonds. J'aimerais que nous disposions de plus de marge de manœuvre, y compris sur le taux : le porter de 50 % à 80 % de la prise en charge coûterait vraiment très cher : 7 milliards d'euros.