En instaurant un droit de veto à la nomination du directeur de la rédaction, ne risque-t-on pas d'interdire la venue de personnes venant d'horizons différents, par exemple du secteur privé, et de favoriser l'entre soi ? À titre d'exemple, Jean-Philippe Baille, qui est passé par RTL, a été directeur de France Info, avant de devenir directeur de l'information de Radio France. Je ne suis pas sûr que ce parcours aurait été possible s'il avait existé un droit de veto.
Quelles réflexions vous a inspirées l'annulation, par le Conseil d'État, du retrait de l'autorisation d'émettre de la chaîne Numéro 23 ?