Car nous voilà aujourd'hui avec une ministre de la santé qui s'est déjà prononcée contre une aide active à mourir, son ministre délégué qui semble opposer soins palliatifs et aide active à mourir, et un Président de la République qui préfère consulter les cultes et prendre son temps.
Or nos concitoyens n'ont pas le temps, leurs souffrances n'ont pas le temps, leur peur de ne pas pouvoir choisir leur mort n'a pas le temps.