Les enjeux sont posés. Sous l'autorité de la ministre Catherine Vautrin et en lien avec le ministre chargé de la santé et de la prévention, nous mobiliserons tous les moyens nécessaires afin de détecter ces situations dès le plus jeune âge, de lutter contre l'addiction aux écrans et d'entendre ce qui est dit à ce propos. Parler de santé mentale, c'est parler de dépression, de perte de chances et, malheureusement, du suicide d'enfants de plus en plus jeunes.
Faire de cette cause une priorité, cela passe par l'installation, dans chaque département, de maisons de l'adolescent ou encore par l'intensification de la prévention et de la détection, grâce au renforcement de la médecine scolaire, au plus près des enfants.
Nous savons aussi reconnaître ce qui n'a pas bien fonctionné et le corriger : c'est ce que nous faisons s'agissant du chèque psy, afin d'apporter des réponses plus rapidement et de faciliter les remboursements.