Le premier objectif est d'améliorer la réussite scolaire ; nous en avons besoin, nous le savons. L'investissement des responsables éducatifs – professeurs, cadres, inspecteurs – n'a pas suffi à nous donner des résultats satisfaisants dans les classements du Programme international pour le suivi des acquis des élèves (Pisa) ; c'est la raison pour laquelle la réforme dite du choc des savoirs sera conduite à la rentrée 2024. J'ai dit, et je redis devant vous, que j'exclus évidemment tout tri social par l'échec : l'ensemble de nos élèves doivent maîtriser au mieux les apprentissages fondamentaux.