Parlons de la liberté de circulation, elle aussi garantie par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen : nous ne circulons plus de nuit, ni d'ailleurs de jour, par crainte des embuscades, des bandes qui ravagent, pillent, détruisent, incendient des quartiers entiers, sèment la mort à coups de machette. Je vous le dis : trop, c'est trop. C'est invivable !
Mayotte entame son vingt-deuxième jour de blocage, toujours paralysée par le mouvement social légitime de ceux qui réclament la paix et la sécurité. Nous attendons de votre part un engagement écrit : quand allez-vous nous répondre ?