Dans certaines zones de départements frontaliers telles que la Pointe de Givet dans les Ardennes, encerclée par nos amis belges, nombre de familles décident de scolariser leurs enfants en Belgique en cas de fermetures de classes. D'autres territoires peuvent être concernés, même si ce territoire de la Pointe de Givet n'a pas d'équivalent en France. Ne serait-il pas souhaitable d'envisager, sinon une politique particulière, du moins une attention redoublée en matière de fermeture de classes à proximité de nos voisins européens ?