Nous partageons cet objectif puisque nous avons rehaussé l'IR-PME à 25 %, et même au taux exceptionnel de 30 % pour l'outre-mer. Le Gouvernement a longuement négocié avec l'Europe pour obtenir ces taux, qui pourraient être considérés comme une aide déguisée aux entreprises. Dans un instant, nous allons examiner un amendement visant à proroger ce dispositif pendant un an, mais il ne nous paraît pas possible d'aller plus loin dans le cadre de nos accords européens.
Même si je partage votre objectif – et je pourrais vous donner de nombreux exemples de ce que nous faisons depuis cinq ans pour encourager l'investissement dans les entreprises –, j'émets un avis défavorable sur ces amendements.