Naïma Moutchou a d'ailleurs évoqué son intention de reprendre ce débat au sein de l'hémicycle.
Ensuite, l'amendement n° 14 vise à rendre la peine plancher automatique, sans prévoir la possibilité pour le juge d'y déroger. L'effet des décisions en serait limité.
Vous parlez d'efficacité, mais avant d'instaurer des peines planchers il faut procéder à une évaluation, notamment de l'application des peines. En l'absence de tels éléments, nous réduirions la portée de notre discussion à une querelle idéologique qui n'a pas sa place dans ce débat.
L'avis de la commission est donc défavorable.