Gabriel Attal, Premier ministre :Venant de vous, cela ne manque pas d'audace ! À chacune de vos attaques personnelles, à chacun de vos procès d'intention, vous nous replongez dans le XIXe siècle. À chacun de vos appels au matraquage fiscal, à la création de nouvelles contraintes, de nouvelles règles et de nouvelles taxes, vous nous replongez dans le mythe collectiviste où toute initiative est bridée, étouffée. À chacune de vos attaques contre l'Europe, vous nous replongez soixante-quinze ans en arrière, quand notre continent naviguait dans l'incertitude.