Elle ôterait toute portée à l'interdiction d'utiliser les signes distinctifs de l'administration ou de disposer d'une adresse de courrier électronique, à l'obligation d'indiquer la qualité de consultant dans les échanges avec l'administration et le tiers ou encore à l'obligation d'utiliser la langue française – ce qui n'est pas le plus important.
Surtout, le dispositif de prévention des conflits d'intérêts doit pouvoir s'appliquer à tous les consultants.