Il est évident qu'il faut tenir compte de la nouvelle donne que constitue le taux de natalité très faible en France, en prenant des mesures pour faciliter la vie des familles. On me dit que le deuxième enfant importe peu, que c'est le troisième qui compte ; permettez-moi de vous rappeler qu'avant de faire un troisième enfant, il faut tout de même en avoir fait un deuxième ! Cela pose des difficultés financières, surtout en pleine crise du pouvoir d'achat.
Nous avons effectué une simulation : notre proposition permettrait à une famille de classe moyenne avec deux enfants de bénéficier d'un gain de 560 euros par an. Cela est essentiel, fondamental. De manière transpartisane, nous devrions tous avoir à cœur d'améliorer la situation de la natalité en France.