Votre politique a en effet eu un résultat : la France compte aujourd'hui 42 milliardaires – soit quatre fois plus qu'en 2008 –, qui ont gagné pendant la crise 15 milliards d'euros !
C'est l'un des arguments développés dans cet amendement, amendement qui relève tout simplement d'un enjeu de salubrité publique alors que nous traversons des crises multiples et que les Français tirent la langue en raison de l'inflation. Votre politique publique qui s'obstine, de façon obscène, à favoriser les plus riches suscite un sentiment d'indécence au regard des profits réalisés.
Cet amendement nous donne l'occasion de faire avancer une cause simple : les politiques publiques ne doivent plus servir les plus riches.