La question est un peu difficile. Les stratifications publicitaires n'empêchent manifestement pas les grosses chaînes de la TNT de fédérer : elles oscillent selon les jours entre 10 % et 20 %, voire plus, de parts de marché. Il y a assurément un dilemme entre diversité des offres, pour que tout le monde s'y retrouve, et fédération. Certaines chaînes sont plus fédératrices, d'autres plus spécialisées, selon la nature du service et de la programmation éditoriale. C'est une question d'équilibre. Mais si on n'avait, comme dans les années 1960, qu'une seule chaîne capable de fédérer tout le monde, il y aurait d'autres formes de critiques…