Je soutiens l'effort méthodologique entrepris par notre collègue Labaronne. Indépendamment de toute l'amitié et du soutien dont nous devons faire preuve à l'égard de nos agriculteurs, il faut systématiquement se poser cette question et éviter tous les amendements visant à pérenniser ou à augmenter les seuils sans connaître l'impact de ces dispositifs. C'est un sain précepte de gestion des finances publiques. Nous devrions, collectivement, faire preuve de discipline.