Ils souhaitent de la simplification – le stock de normes a triplé en vingt ans et elles s'additionnent parfois au point de se contredire – et la fin de la technocratie en folie. Enfin, ils aspirent à un État qui se concentre sur ses priorités. Seuls 6 % de l'investissement public sont consacrés aux missions régaliennes. On comprend mieux pourquoi les hôpitaux, la justice, l'enseignement et les commissariats sont dans un si mauvais état.