Le 9 janvier, monsieur le Premier ministre, vous vous adressiez à nous en ces termes : « Nous avons en commun le destin de notre nation ». Sur ce point, nous nous retrouvons : les décisions que nous prenons ici et maintenant façonneront notre destin et celui de nos enfants. Tout d'abord, soyez assurés que nous, votre opposition de gauche et écologiste, défendons dans cette assemblée une politique de progrès social et de justice climatique. Ensemble, nous avons voté la hausse du Smic, la prime alimentaire, l'interdiction de substances cancérigènes et celle des jets privés : vous vous y êtes systématiquement opposé.