une condition, la protection de nos marchés face à une mondialisation déloyale. Il n'est plus possible de faire semblant. Nous avons besoin d'un plan de bifurcation écologique avec des investissements de l'ordre de 100 milliards d'euros par an, financés par une caisse d'amortissement de la dette climatique. Nous voulons un plan de réindustrialisation et de décarbonation de l'industrie, garant de notre souveraineté industrielle et alimentaire. Nous devons défendre nos intérêts souverains, préparer l'avenir, construire l'industrie de demain avec les ouvriers d'aujourd'hui.