On ne fera pas l'écologie contre le peuple. Au contraire, il faut entendre les inquiétudes des Français, de tous les Français. Il faut entendre les agriculteurs, qui travaillent et s'inquiètent de l'avenir de leur métier. Il faut entendre les élus locaux, qui veulent développer leurs communes. Il faut entendre les millions de Français, des villes moyennes, des petites communes et de la ruralité, pour qui la voiture est gage de travail et de liberté.