Une école qui marche, c'est aussi une école où les élèves sont heureux. Or trop longtemps, le bien-être des élèves est resté un impensé et les résultats, nous les connaissons : ce sont notamment les drames du harcèlement. Notre stratégie contre le harcèlement, qui a permis de briser des tabous majeurs, est très concrète : désormais, c'est l'élève harceleur qui doit quitter l'école, plus l'élève victime qui subissait ainsi la double peine. Je suis fier de ce changement !
Le 06/02/2024 à 20:03, Aristide a dit :
Les élèves harcelés par l'État parce qu'elles portaient une abaya n'ont pas pu être réintégrées.
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