Troisième pilier : libérer les médecins de certaines tâches pour qu'ils se concentrent sur le soin. Nous poursuivrons les chantiers déjà engagés, notamment s'agissant de l'attractivité de tous les métiers du soin. Nous allons à cet effet accélérer le passage de 6 000 à 10 000 assistants médicaux, ce qui permettra aux médecins de pouvoir se consacrer davantage aux patients et moins aux formalités administratives. Cela représentera deux millions et demi de consultations de plus disponibles tous les ans pour les patients.