Je remercie M. de Courson de se préoccuper de mon bonheur : je suis toujours ravi d'enregistrer des recettes supplémentaires, mais je le suis moins lorsque c'est au prix d'une augmentation individuelle forte des impôts des Français, en l'occurrence de propriétaires, parfois détenteurs d'un bien familial. Pour ces raisons, je suis défavorable à ces amendements.