Chercher un modèle social plus efficace et moins coûteux, ce n'est pas un gros mot mais un impératif.
Déverrouiller le travail, c'est aussi l'adapter aux nouvelles aspirations de nos concitoyens. C'est un fait : le rapport au travail a changé. Je mesure, dans ma génération comme dans les autres, les changements de mentalité et les nouvelles attentes s'agissant des horaires, de la disponibilité ou encore de l'équilibre entre vie professionnelle et vie familiale. Ces aspirations ne doivent pas être niées. Elles ne doivent pas être caricaturées non plus. Au risque de décevoir certains ici, personne, dans notre pays, ne demande un droit à la paresse.
Le 06/02/2024 à 19:32, Aristide a dit :
Ils réclament juste le droit de ne pas être tyranisés par une hiérarchie stupide.
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