Ah ? On m'avait dit que c'était une femme – le titulaire a dû changer, entretemps.
Bref, le commissaire de police a décidé d'aménager un logement avec une douche, et quand une femme vient, elle dispose d'un endroit pour se reposer.
Il existe un débat concernant ce collectif de femmes – le terme de « mamans » me gêne ; je l'ai employé à plusieurs reprises quand j'étais adjoint à la cohésion sociale et à chaque fois, on m'a repris en me disant : « Ce sont des femmes ».
Il est vrai que c'est une question que nous devons nous poser, madame la ministre. J'ai un vieux rêve : celui de créer une fondation des volontaires, composé de femmes et d'hommes qui pourraient être des retraités ou des étudiants suivant des unités de valeur citoyennes, et qui accompagneraient les jeunes, différents, qui n'ont pas la chance d'avoir des parents ou qui n'ont pas accès à internet. C'est au travail qu'effectuent ce type de personnes que, si vous en êtes d'accord, chers collègues, nous devrons réfléchir ensemble dans le cadre de l'acte II.
Pour ce qui concerne votre amendement, nous en avons déjà discuté en commission. L'objet de la proposition de loi est d'assurer la professionnalisation de la médiation sociale. Je ne vois donc pas l'intérêt de rappeler à chaque fois qu'il s'agit de professionnels. Avis défavorable.