Même lorsqu'ils existent, M. Lappartient estime que certains comités d'éthique « ne disposent pas des moyens nécessaires pour fonctionner ». Il considère que, parfois, « les liens avec l'exécutif n'en garantissent pas l'impartialité » et qu'ils « pourraient être revisités ». Partagez-vous ce constat ? Avez-vous préconisé des actions à votre cabinet pour remédier à cette situation ?