Afin de répondre à la question majeure posée par Mireille Delmas-Marty – que peut le droit ? –, il s'agissait également pour nous de mettre en avant de nouveaux champs, angles morts de l'aide publique au développement, qui nécessitent moins de crédits qu'une coopération juridique. C'est le cas par exemple du foncier et de la lutte contre l'accaparement des terres.