Pensez-vous réellement que nous pourrons exporter, défendre nos normes et nos valeurs, faire rayonner nos entreprises à l'international en refusant tout accord de libre-échange ? Je ne le crois pas.
Vous avez ensuite évoqué la question des pesticides. Tous les accords que nous signons avec nos partenaires comportent des dispositions extrêmement contraignantes. S'agissant des seuils en matière de pesticides, ils sont soumis à la même réglementation que sur le marché européen, à savoir la limite maximale des résidus, qui doit être évaluée et contrôlée avant l'exportation de ces produits.