J'ai entendu ces arguments à peu près mille fois lorsque nous avons débattu de la ratification du Ceta dans cet hémicycle sous la précédente législature. L'instrumentalisation des peurs, le fait de faire croire à nos éleveurs et à nos agriculteurs qu'ils allaient être envahis de produits dans une logique de concurrence déloyale : ces arguments sont réchauffés et surchauffés.