Depuis les attaques terroristes perpétrées par le Hamas le 7 octobre dernier, le voile se lève sur le scandale du détournement massif de l'aide publique au développement octroyée par les pays occidentaux, dont la France, aide censée aider la Palestine et les Palestiniens mais qui finance, en réalité, le terrorisme islamiste.
Nous savions déjà que le Hamas utilisait les conduites d'adduction d'eau financées par l'Agence française de développement pour les transformer en corps de roquettes lancées depuis Gaza contre les civils israéliens. Nous savons désormais que des professeurs rémunérés par l'agence des Nations unies opérant en Palestine, l'Unrwa – Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient –, ont célébré les massacres du 7 octobre.
Nous avons également appris avec effroi qu'en plus d'abriter des caches d'armes du Hamas, les écoles et les collèges opérés par l'Unrwa sont des lieux où l'on enseigne aux enfants qu'un attentat à la bombe incendiaire contre un bus rempli de Juifs est « un barbecue de fête » et que les exercices sur lesquels les élèves travaillent glorifient le caractère divin et sacré de la lutte armée contre Israël.
Enfin, nous constatons que la France a financé, pour plusieurs centaines de milliers d'euros, de nombreux projets soutenus par l'UAWC
Pas un euro d'argent public, français ou européen, ne doit remplir les poches des dirigeants du Hamas ni financer le terrorisme, de façon directe ou indirecte. Il y a quelques semaines, alors qu'il était encore président du groupe macroniste au Parlement européen, le nouveau ministre de l'Europe et des affaires étrangères se réjouissait publiquement du triplement de l'aide financière à la Palestine, feignant d'ignorer que l'autorité palestinienne octroie aux familles des terroristes du Hamas tués ou emprisonnés depuis le 7 octobre des pensions mensuelles cinq à dix fois supérieures au salaire moyen.
Alors que quarante de nos compatriotes ont été massacrés par le Hamas, pouvez-vous nous assurer, madame la ministre déléguée, que pas un seul euro des contribuables français n'a financé, ne finance ou ne financera le terrorisme islamiste au Proche-Orient ? Pouvez-vous également nous préciser quels sont les moyens de contrôle appliqués par le Gouvernement concernant l'utilisation de l'aide publique au développement française octroyée à la Palestine ?