Nous sommes favorables au déploiement d'une politique ambitieuse en faveur de la petite enfance. C'est précisément à cela que nous devons affecter l'impôt que nous collectons grâce au plafonnement du quotient familial : à accompagner les assistantes maternelles – qui sont nombreuses à partir en retraite ou à abandonner leur métier –, à encourager la montée en puissance des crèches ou encore à mener une politique ambitieuse pour l'école maternelle.