Troisièmement, l'incapacité à penser la crise écologique : où sont les 60 milliards d'euros réclamés par Jean Pisani-Ferry dans son rapport, « Les incidences économiques de l'action pour le climat » ? Où en sont l'isolation des logements, la sortie du pétrole, les solutions alternatives à la voiture, la gratuité des transports collectifs, la fin des pesticides, la diminution des déchets, la gestion partagée de l'eau, la fin de l'urbanisation ? L'écologie, je le répète, constitue un impensé.
Quatrièmement, le macronisme est un mode de gouvernement. Emmanuel Macron sait tout mieux que tout le monde et il a toujours raison, même quand il a tort,…