Je souhaitais simplement mettre en lumière la singularité de l'année 2022, d'autant plus si elle constitue la base des objectifs de réduction à l'échéance 2030. Il risque d'exister un biais, notamment en matière énergétique, puisque nous avons peu ou pas chauffé lors de certains mois de l'année. Disposer de données assez fines par mois pourrait permettre d'y remédier.