La marche que vous nous proposez de gravir l'an prochain, madame Louwagie, est trop haute. Nous l'avons dit à plusieurs reprises, nous sommes encore au cœur de la crise et les Français, les collectivités territoriales, les entreprises, les associations ont besoin d'être protégés. Ce n'est donc pas le moment.
Enfin, nous vous l'avons dit – nous avons déjà travaillé ensemble sur d'autres dossiers –, nous sommes très ouverts.