Nous aurions pu voter pour l'amendement n° 537 de Mme Dalloz – nous voterons pour le suivant –, mais nous ne pouvons pas laisser dire que la France doit se plier aux injonctions de l'Union européenne, pour une raison simple : notre pays participe de façon éhontée, directement et indirectement, à son financement. L'Union européenne n'a pas de leçons à nous donner : sans l'argent français, elle n'aurait jamais été financée. Nous sommes les pigeons du budget de l'Union européenne !