…de supprimer les subventions aux associations qui suivent à la place de l'État les demandeurs d'asile ; de conditionner les aides au développement à une meilleure coopération en matière migratoire ; de privatiser partiellement l'audiovisuel public, soit 2,5 milliards d'économies. La remise en question de la compensation par l'État des crédits carbone de l'industrie électro-intensive permettrait quant à elle une économie de plus de 1 milliard, et la suppression des ARS – agences régionales de santé –, qui minent notre système de santé, économiserait plus de 600 millions d'euros.
Madame la Première ministre, enfin, nous ne donnons pas le même sens au mot « dépenses ». Où sont les nouvelles places en prison ou en centre de rétention administrative, que réclament les Français ? Où sont les mesures drastiques pour la vie quotidienne de nos compatriotes d'outre-mer – en particulier en Guadeloupe, en Guyane ou encore à Mayotte ?