La scène est en train de se répéter de manière absurde et assez grotesque, comme si nous étions coincés dans une boucle vouée à se répéter inlassablement. Une fois de plus, nous nous retrouvons dans cet hémicycle pour voter une énième motion de censure, qui n'a pas plus de chance d'aboutir que les précédentes. D'ailleurs, Mme Panot, quel est le sens du dépôt d'une nouvelle motion, quarante-huit heures après la précédente, qui n'a recueilli que soixante-quinze voix ?